Un vent de tourmente souffle sur les hautes sphères de la police camerounaise. Trois agents de la Sûreté nationale, dont un haut gradé, sont actuellement en garde à vue dans le cadre d’une affaire interne aux allures de scandale.
D’après des informations concordantes recueillies auprès d’une source policière fiable, le commissaire divisionnaire Josué Ossomo, ancien délégué régional de la Sûreté nationale pour le Centre, ainsi que deux agentes en service au commissariat central n°1 de Yaoundé, ont été interpellés et conduits au Groupement Spécial d’Opérations (GSO).
Les autorités ont pris des mesures strictes pour que les deux femmes et le commissaire ne partagent pas le même espace de détention, afin de garantir le respect des règles de sécurité et d’éthique en milieu carcéral.
Cette affaire relance une fois encore la réflexion sur les valeurs au sein de certaines institutions régaliennes. Elle interpelle sur la conduite que devraient avoir ceux qui incarnent l’autorité et veillent au respect des lois.
Au-delà de la simple polémique, cet épisode suscite des questionnements sur les pratiques internes, souvent restées sous silence, et met en lumière le besoin urgent d’un sursaut moral et disciplinaire.
Face à de tels faits, la société camerounaise est en droit d’attendre plus de transparence et d’exemplarité de la part de ses forces de l’ordre.
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