Une nouvelle affaire explosive secoue les hautes sphères de l’administration sécuritaire du Cameroun. Selon des sources concordantes, plus de 1000 vidéos auraient été retrouvées dans le bureau du commissaire Assomo, récemment suspendu de ses fonctions. Ces enregistrements concernent diverses femmes, dont certaines issues de la diaspora, ainsi que plusieurs personnalités influentes du pays.
L’enquête en cours révèle que ces vidéos auraient été accumulées sur une longue période et stockées dans des disques durs sécurisés, à l’abri des regards indiscrets. Ce contenu explosif mêlerait à la fois des scènes d’intimité non consenties, des échanges compromettants et des situations mettant en cause des membres de l’administration publique, du corps diplomatique, et même du milieu politique.
Les premières fuites ont déclenché une onde de choc sur les réseaux sociaux, où certaines séquences auraient déjà commencé à circuler de manière virale, soulevant une vague d’indignation et de stupéfaction. Certaines femmes filmées ignoreraient même avoir été enregistrées.
Ce scandale met en lumière des pratiques occultes et un réseau de manipulations potentielles à des fins d’intimidation ou de chantage. Une cellule spéciale a été mise en place pour analyser le contenu de ces vidéos et établir les responsabilités.
Face à l’ampleur des faits, la hiérarchie policière et les autorités judiciaires sont désormais sous pression pour faire toute la lumière sur cette affaire aux ramifications potentiellement explosives.


