« Nidja est mon chorégraphe, et nous travaillons ensemble depuis 2014 ou 2015. C’est un jeune très conscient et respectueux, qui sait ce qu’il veut et qui a toujours eu une bonne attitude. Je l’ai recruté à Méagui et l’ai fait venir à Abidjan. Par la grâce de Dieu, il a su s’intégrer très rapidement. Je suis très fier de lui.
Quand nous voyageons pour des prestations hors du pays , je prends la moitié du cachet et l’autre moitié est répartie entre les membres de l’équipe. Par exemple, si je reçois 5 millions de FCFA pour un spectacle, je remets 2 500 000 FCFA à Boubouni, qui se charge de faire le partage. S’ils sont deux ou trois, chacun peut repartir avec environ 800 000 FCFA.
Mais ce n’est pas tout, car ici à Abidjan, certains spectacles leur rapportent plus de 500 000 FCFA par personne. Par la grâce de Dieu, j’ai de bons cachets, et comme je suis aussi dans les affaires, je ne suis pas gourmand. Je partage avec eux, car pour la plupart, c’est leur seule activité. De mon côté, je peux toujours me rattraper sur un chantier ou ailleurs. »


